Saint-Orens-de-Gameville, à la lisière de Toulouse, est une ville caractéristique de l'urbanisation des périphéries françaises engagée dans les années 1970. Construite autour de “boîtes à chaussures” monumentales et introverties, praticables uniquement en voiture, la ville est marquée par une forte scission entre les espaces qui la composent. La zone commerciale des Champs-Pinsons est symptomatique du phénomène, comme l'est d'ailleurs son déclin avec plus de 35 % des enseignes qui ont fermé. En parallèle, l'expansion massive de Toulouse interroge cette vacance. Les fleurs du mal propose d'imaginer une nouvelle centralité, fondée sur l'attractivité d'une logique de vie plurielle qui intègre de l'habitat, des commerces et services de proximité, du loisir et de la culture. Cet ensemble est unifié par la revalorisation de la notion de paysage.
FORMATION INITIALE DOMAINE D'ÉTUDES PAYSAGES HABITÉS : ARCHITECTURES EN SITUATION
DIRECTRICE D'ÉTUDES
Julie Cattant
ÉQUIPE PÉDAGOGIQUE
Manuel Appert, Marc Bigarnet, Christophe Boyadjian, Julie Cattant, Nune Chilingarian, Théo Fort-Jacques, Laurent Mayoud, Yan Olivarès
COMPOSITION DU JURY
DE PROJET DE FIN D'ÉTUDES
Manuel Appert, Caroline Barrès, Marc Bigarnet, Christophe Boyadjian, Julie Cattant, Nune Chilingarian, Clara Delmond, Théo Fort-Jacques, Laurent Graber, Élodie Mas, Laurent Mayoud, Yan Olivarès, Charlotte Vergely, Liliane Viala, Chris Younès