Le chien est une espèce animale grégaire, qui ne trouve pas de stimulations dans un environnement lui étant trop familier. Mais alors, dans quelle mesure l'architecture des refuges animaliers impacte-t-elle les interactions quotidiennes du chien, avec l'Homme et ses congénères ? Les humains et les chiens constituent deux espèces animales différentes, ne mobilisant pas leurs sens de la même manière pour appréhender leur environnement. L'Homme, ne peut ainsi pas prétendre adopter le point de vue du chien, sans manquer d'objectivité. Mais alors, l'architecte peut-il étudier un espace sous le prisme d'une relation entre individus, lorsqu'il ne bénéficie du point de vue que d'un seul membre de cette relation ? Quel impact aurait la prise en compte de “l'autre”, sur notre société anthropocentrée ?
Mémoire de mention Ville et environnements urbains DEM ALT
DIRECTEUR D'ÉTUDES
Florent Ottello