Une histoire du vivant est un projet porté par trois élèves ingénieurs futurs architectes. Par un processus itératif, il s’agit de déployer une biorégion relative, initiée par un écolieu en devenir. Il se situe en Saône-et-Loire, dans un ancien monastère et lieu de pèlerinage. Landry Bach s’est intéressé aux limites psychologiques et physiologiques des interactions humaines ; ce qui mène à redéfinir la société par un retour à des échelles de gestion humaines, en explorant des systèmes de gouvernance alternatifs. Amélie Cazette s’est concentrée sur les notions de villes et de territoire. Les premières hypothèses sont étudiées avec la transposition des principes de l’écovillage à l’échelle de la biorégion. Marie Claudet s’est intéressée aux rapports entre humains et non-humains dans les tissus ruraux existant, pour associer patrimoine et vivant dans une dynamique écosystémique.