Ce travail de recherche s’inscrit dans la continuité de précédents écrits réalisés au cours de ma formation. D’abord, L’espace utopique itinérant, était une réponse au bonheur individuel et subjectif que l’on trouverait dans un lieu qui permette de vivre en se déplaçant. Puis Utopies de villes nomades traitant du même sujet à l’échelle de communautés avec une dimension plus critique. Bien que le thème de l’utopie a toujours été présent dans mes travaux de recherches, celui de la verticalité a été exploré dans le projet architectural. Le PFE prend place sur le site des Tours de Merle, un castrum médiéval en ruines. Ainsi qu’au travers d’un projet expérimental que j’ai réalisé en autonomie. Celui-ci s’articulait autour de l’idée d’une maison verticale constituée de modules qui s’empilent. En définitive, c’est d’une combinaison de mes intérêts en architecture pour la recherche et pour le projet, qu’est né le sujet de ce travail. Ne souhaitant pas m’écarter de la notion d’imaginaire qui a toujours accompagné ma pensée lors de mes travaux de recherche, j’ai préféré inclure ce terme à mon travail. Ainsi, celui-ci traitera de la manière dont sont conçues les tours de nos jours, mon objectif étant de chercher à comprendre comment se construit l’imaginaire des architectes qui les dessinent. Cette entreprise me poussera ainsi à remonter le temps et à étudier des bâtiments de plus en plus anciens.
MÉMOIRE DE MENTION RECHERCHE DEM AHD
DIRECTRICE D'ÉTUDES
Cécile Regnault