Antoine Sintes

VALSERHÔNE, RECONQUÊTE ET DENSIFICATION PAR SES MARGES

VILLE RHODANIENNE

Avec l’augmentation démographique et l’incapacité de Genève à pourvoir les logements nécessaires le Grand Genève voit un développement anarchique des communes limitrophes françaises, comme Valserhône, anciennement appelée Bellegarde-sur-Valserine. La stratégie urbaine vise donc à préparer la ville à l’augmentation démographique et à changer le rapport au Rhône des marges du centre-ville bellegardien. Le fleuve n’ayant pris une importance urbaine qu’en 1948 avec la mise en eau des pertes du Rhône suite à la construction du barrage de Génissiat. Le projet urbain s’appuie sur deux réalisations. La première est la construction d’un ensemble de logements, associés à une place sur le Rhône et la réhabilitation de la salle des fêtes de Bellegarde, affirmant l’axe nord-sud de la ville, liant la gare au fleuve comme le cardo romain. Le deuxième élément est un parc avec un centre nautique et une piscine naturelle. La masse végétale permet la dépollution de l’ancienne friche industrielle et les équipements proposent par l’usage de la baignade l’appropriation du Rhône.

FORMATION INITIALE DOMAINE D’ÉTUDES ARCHITECTURE, MÉTROPOLES, TERRITOIRES HABITÉS

DIRECTEUR D'ÉTUDES

Laurent Mayoud

COMPOSITION DU JURY
DE PROJET DE FIN D'ÉTUDES

Eric Alonzo – Christophe Boyadjian – Nune Chilingarian – Pierre Gras – Laurent Mayoud – Aude Mermier – Yan Olivarès