Le projet aborde le lien fondamental entre un territoire naturel, l'intervention architecturale et l'habitant. À partir du parc de la Feyssine et de son rapport au Rhône, la question d'habiter une limite naturelle est au coeur du projet. Comment limiter l'extension de la ville sans refuser le développement urbain, ni la valorisation des espaces naturels ? Dans une volonté d'implantation poreuse et légère dans le parc, il s'agit de prendre en compte les enjeux actuels de l'évolution de la ville sur elle-même, de l'étalement urbain et des nécessités de préservation de l'espace naturel. Le projet propose ainsi une méga-structure, comme lieu d'hybridation de plusieurs fonctions, dans un souci de proximité et de mutabilité des espaces. L'édifice valorise les espaces avec son environnement. Le projet propose ainsi d'occuper les limites urbaines génératrices de clivages spatiaux plutôt qu'intervenir sur l'intérieur des espaces. La limite devient alors un espace urbain à part entière.
FORMATION INITIALE
DÉPARTEMENT VILLES, TERRITOIRES ET PAYSAGES
COMPOSITION DU JURY
DE PROJET DE FIN D'ÉTUDES
LUC SCHUITEN / PIERRE BELLI-RIZ, JOAN CASANELLES, BENOÎT CREPET, JEAN-PIERRE DURAND, LUDOVIC GHIRARDI, YVES SAUVAGE, CHRISTOPHE WIDERSKI