Mathieu Schmets

“Harcelement, architecture et végétal”, trois notions analysées dans le mémoire. En effet, il est de coutume d'aborder plutôt le sujet par la voie de la psychologie, la sociologie, l'éducation, la médicine…Avec du recul, selon de terme de “niche”, employé par Philippe Descola, l'architecture, avec pour fonction prèmiere d'abriter, est présente partout où l'homme vit. La notion “d'abriter”, peut être élargie à l'ensemble des êtres vivants. La société refermée sur l'homme cherche le contrôle. Elle n'a pas hésité pour tenter d'y arriver à classer, ranger, séparer, trier et sélectionner. La peur de l'arrogance et la démesure, à poussé à se refermer sur que l'on veut voir. Mais l'architecture et le végétal des façades majestueuses ou des parcs rayonnants de couleurs, sont aussi présents dans les recoins pussiéreux de la société. Qui se rentrouvent responsables des violences qui se déroulent dans ces espaces? Ceux qui n'ont pas le choix d'y loger pour survivre, ou les autres, qui profitent de ces impensés pour survivre?