Noémie Hugnit

Peu de place est accordée aux espaces publics ayant pour unique intérêt l’invitation à la pause. L’incertitude à pouvoir compter sur les machines et les services dépendants, éclaire la nécessité à réapprendre les savoir-faire perdus en créant des espaces de rencontre. Seulement, pour espérer le (re)transformer en lieu de vie à part entière, l’implication de l’habitant dans le processus de fabrication de la ville est essentiel. Loin d’être impopulaires, les actions participatives restent marginales à grande échelle. Le mémoire a pour objectif de comprendre la complexité de la participation pour savoir comment la valoriser. Ainsi, il questionnera l’efficacité des actions déployées en matière de participation habitante sur l’espace public et rendra compte de pistes à suivre pour leur donner plus de poids.