Soleïa Pierre

Le mémoire s'intéresse à la situation prospective des sites d'exploitation alluvionnaire sur le lit majeur du fleuve du Rhône, sur l'île de Pierrelatte.

En quoi le projet est-il une réponse possible à la recherche d'identité des sites de gravières en eau dans leur processus de reconversion sur l'île de Pierrelatte ? Les territoires post-exploitation alluvionnaire offrent, de manière paradoxale et à travers la formation secondaire de nouveaux paysages lacustres, un potentiel de réinvestissement. L'architecture sur pilotis, qui sous-entend l'utilisation de certains dispositifs architecturaux, agit comme vecteur entre l'usager et le paysage.

Elle serait ainsi une réponse possible à la quête d'identité des paysages d'eau.

La méthodologie est celle d'un“mémoire par articles”. Les deux premiers articles produisent des résultats présentés dans un troisième article de synthèse. Le fil des questionnements montre l'importance de la prise en compte de la temporalité et à différentes échelles.