Pauline Plaud

Il a été mis en évidence que des éléments architecturaux tels que les structures apparentes ou saillantes et certains types de mobiliers comme les stores, qui régulent l’apport en lumière, mais peuvent engendrer des effets de clignotement parfois involontairement. Le mémoire aborde deux domaines : celui des personnes épileptiques qui résident dans des foyers d’hébergement spécialisés et les caractéristiques de la lumière, ici les effets stroboscopiques. Ces effets, caractérisés par leur intensité lumineuse et leur fréquence de mouvements, vont engendrer des crises chez les épileptiques photosensibles. Comment se manifestent-ils dans les centres pour épileptiques ? Au travers d’études de sites, il est mis en lumière l’importance des types d’éclairage et de leur intensité sur la survenue d’effets stroboscopiques. Certains aménagements, structurels, lumineux, ainsi que l’incorporation du mobilier dans l’espace, entraînant des effets stroboscopiques sont donc à proscrire lors de la création ou de la rénovation d’un centre pour épileptiques.