Emma Leroy Emerand

Dans la vallée de l’Arve, les paysages oscillent entre ville et campagne. Depuis des décennies, la pression démographique de la région engendre une urbanisation galopante entremêlant les espaces naturels aux zones de lotissements. Située à la lisière entre le fond de vallée et la montagne, la maison collective est une alternative au pavillon tout en valorisant le paysage agricole. Il interroge l’habiter dans la ville périrurale de Thyez. La réponse est en quatre points : 1 Une urbanité en résonance avec un environnement. 2 Un ensemble formant une communauté par le rassemblement de résidents. 3 Une alternative au pavillon dans sa composition spatiale. 4 Une architecture dépendante d’un territoire par son caractère et sa composition.