Diego Fuentes Santos

Le changement continu des limites de la ville, reflet des différents conflits dans les espaces ruraux principalement, engendre un urbanisme spontané issu d’une population défavorisée et de l’absence de l’État. Ni les zones de risque, ni l’État n’ont la capacité d’éviter cette appropriation illégale du territoire, où les plus riches profitent des bienfaits de l’urbanisation illégale, avec le même impact négatif sur les zones de protection ou risque dans une ville comme Bogota. Avec la fin du sol d’expansion, les promoteurs urbains ont commencé à détruire les quartiers plus vulnérables sans avoir quelque considération pour ces habitants qui doivent faire un nouveau quartier spontané.