ANNE MERCIER

Il est question de réagir sur un domaine non sans conséquence pour la ville de Lyon en 2050, celui de la mobilité. Le point le plus important est d’étudier la réorganisation des transports communs et individuels. L’usage de la voiture sera donc différent de ce qu’il est aujourd’hui. Il va donc falloir utiliser les bons moyens de transports pour les bons usages, ce qui va entraîner de nombreuses répercussions sur notre environnement urbain et social. Le projet est donc de concevoir un pôle d’échanges multimodal et intermodal, où les citoyens de Lyon en 2050 pourront trouver au sein de cet espace, un lieu d’échanges et de cohésion sociale à travers la notion de vivre ensemble.