Léa Gelineau

Les tours médiévales de la campagne romaine

D’un passé défensif vers un avenir paysager

Des paysages. Des lieux en tout genre, des horizons lointains, des mers de bitume ou de pins verdoyants. Des fascinations. Des interrogations. Dans ceux qui émeuvent, on trouve souvent des empreintes de l’homme : des bâtis, des morceaux d’histoire. Le paysage, bien plus qu’un décor, est un milieu de vie qui inspire et reflète les cultures et les sociétés. Il évolue et accumule sur son couvert différentes empreintes du temps qui s’écoule. De nombreux monuments historiques sont devenus paysages ayant souvent perdu leur fonctionnalité et font partie intégrante du territoire depuis une longue période. Mais est-ce un motif suffisant pour les préserver ? Est-ce que la valeur paysagère d’un édifice suffit à l’investissement nécessaire à sa sauvegarde ? Ou au contraire est ce que cette valeur si sensible peut inspirer de nouveaux programmes, et donner une nouvelle attractivité à un édifice qui favoriserait l’aménagement du territoire ? Le mémoire se penche spécifiquement sur le cas des tours médiévales disséminées dans les banlieues de Rome.

Mémoire de mention Ville et environnements urbains DEM HTC

DIRECTEUR D'ÉTUDES

François Tran