Alice Feuvrier

La mémoire invisible

Atlas mémoriel de la seconde guerre mondiale à Rome

Durant la seconde guerre mondiale, Rome abrite le siège du régime fasciste. Avec la présence du Vatican et pour préserver son patrimoine culturel des bombardements, la ville obtient également le statut de “ville ouverte”. La mémoire invisible s’intéresse à la localisation de la mémoire des victimes de la seconde guerre mondiale et des lieux porteurs de mémoire. La complexité de cette mémoire s’explique par la multiplicité des personnes touchées. Ainsi, les différents lieux sont répertoriés, catégorisés et cartographiés. Le positionnement des destructions met en exergue leur ampleur puis leur dissimulation dans le tissu urbain. L’étude de l’architecture mémorielle avec l’exemple de Rome, passe du lieu de recueillement, à une expérience architecturale sensorielle, et enfin à un espace pédagogique.

Mémoire de mention Ville et environnements urbains DEM HTC

DIRECTEUR D'ÉTUDES

Benjamin Chavardès