Julie Lascaux

Essayer de comprendre le paysage et ses êtres vivants serait sans doute une des solutions pour réduire l’empreinte environnementale. Entreprendre un diagnostic et émettre une ordonnance pour soigner l’environnement malade qui se fragilise à cause du comportement humain. Comprendre comment l’homme peut se régénérer quand il est malade. Le tout converge vers une dimension biologique avec des diagnostics et des expérimentations développées au fil du temps (photosynthèse, la médecine). Le remède proposé consiste à créer une relation symbiotique entre l’homme et son environnement de type “le care”. Il s’agit aussi de considérer que les constructions ont une dimension cyclique où chaque génération se l’accaparerait différemment selon son époque. La recherche s’appuie sur quatre expérimentations montrant une symbiose entre l’homme et son environnement favorable à un soin réciproque : soutenir les constructions grâce au vivant, accueillir le vivant grâce aux constructions, nourrir l’environnement grâce au vivant, réparer les constructions grâce au vivant.